Aussi nommées “culs-de-chien” les nèfles doivent être consommées lorsqu’elles ont pris un coup de gel et qu’elles sont toutes molles
![22102013.jpg](https://jlpasquier.ch/wp-content/uploads/2013/10/22102013.jpg)
Aussi nommées “culs-de-chien” les nèfles doivent être consommées lorsqu’elles ont pris un coup de gel et qu’elles sont toutes molles
Pantes. Quand le végétal se tape la tête au plafond, on peut lui couper le chef et recommencer avec un nouveau-né. Qui à son tour grandira, grandira. Jusqu’à ce que d’un “couic”, on le ramène à la case départ.
Si pour vous, l’opaque chape de plomd automnale rime avec poison, les merveilles d’automne en sont le meilleur antidote.
Le mûrier n’est pas réservé qu’aux vers à soie. Il est le compagnon idéal des amateurs de sieste. Et il apprécie les petits jardins.
Toutes de frous-frous vêtues, les pensées assurent un spectacle floral continu de l’automne au printemps. En plates-bandes ou en pots.
Les anciens savent pourquoi ils plantent les rosiers, les arbres fruitiers et les arbustes de haie à l’automne. Faites comme eux.
Limites. Les mornes thuyas et les laurelles n’ont pas le monopole pour délimiter les propriétés. Les haies mixtes plantées en quinconce, les fins rideaux de saule ou les haies fruitières palissées font très bien l’affaire.
L’araucaria affiche une insolente robustesse, défie le feu, et séduit par sa beauté géométrique. Son côté porc-épic dissuade de l’enlacer.
Rozanne est toujours apprêtée pour défiler. Avec cette cousine du géranium à nez rouge, c’est le 14 juillet presque toute l’année.
Adopter un dragonnier, c’est bon pour l’ego. L’entretien de ces plantes d’intérieur est d’une indécente facilité. De la lumière et peu d’eau.